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Le taux de mortalité chez les patients atteints de cancer a sensiblement baissé au cours de ces vingt dernières années. Cela s’explique en grande partie par l’amélioration des protocoles de soins. Le recours systématique à la chimiothérapie a considérablement augmenté les chances de rémission. Néanmoins, ce traitement n’est pas sans conséquence pour l’organisme. Effectivement, il faudra s’attendre à plusieurs effets secondaires.
Comprendre les objectifs d’une chimiothérapie
La chimiothérapie est une technique couramment employée en soin palliatif. Elle consiste à administrer des substances cytotoxiques au malade dans le but d’éliminer les cellules cancéreuses. On compte à ce jour des centaines d’agents chimiothérapeutiques qui agissent plus ou moins différemment. Toutefois, la plupart de ces actifs ont été conçus pour limiter la multiplication des cellules. En raison de cette propriété, ces médicaments s’attaquent naturellement à la moelle osseuse. En effet, cette dernière produit en permanence de nouvelles cellules sanguines. Dès la deuxième semaine de la cure, on constatera des changements dans la composition du sang du malade. Le taux de globule blanc baissera jusqu’à affaiblir les défenses de l’organisme et laisser la porte ouverte aux infections. Cet état persiste chez certains patients même après leur rémission.
Malgré tout, la chimiothérapie est encore à ce jour un passage obligé pour traiter un cancer. Qu’elle que soit la taille de la tumeur ou la gravité de la maladie, cette méthode augmentera les chances de survie du souffrant. Néanmoins, il est aujourd’hui possible d’atténuer les effets secondaires des médicaments prescrits.
Les fragments ARN : des produits efficaces pour réduire les risques de déficit immunitaire
De nombreux scientifiques se sont penchés sur les effets des agents chimiothérapeutiques sur la moelle épinière. Tous ont essayé de trouver une solution pour favoriser la synthèse des globules blancs. Dans ce domaine, les extraits naturels de Mirko Beljanski se sont particulièrement illustrés. Trouver plus d’informations à ce sujet sur le blog de Sylvie Beljanski.
Ce biologiste a découvert que les propriétés particulières des fragments ARN issus de cultures d’Escherichia coli K12. Une fois assimilées par le corps, ces substances aident le patient à augmenter sa production de cellules sanguines. Par conséquent, elles permettent de prévenir un déficit immunitaire suite à une chimiothérapie. Cette solution peut aussi être envisagée en complément d’un traitement classique. En effet, ce composé agit en parfaite synergie avec les médicaments couramment prescrits pour traiter un cancer.
Les recherches de Beljanski ont permis de développer d’autres produits utiles servant à multiplier les chances de rémission. On citera notamment les extraits de Ginkgo Biloba et de Rauwolfia vomitoria. Ces végétaux possèdent également des vertus anticancéreuses qui aideront le malade à se remettre. Avant de recourir à l’approche Beljanski, il convient toutefois de bien se renseigner et de consulter son médecin. Seul un spécialiste pourra présenter les contre-indications et suggérer la meilleure méthode.